VITRINE M #4 > 6

Un projet MUS-E dans lequel des artistes entrent en dialogue avec le quartier des Marolles. En collaboration avec Bruss-it, la Ville de Bruxelles et la piscine Les Bains de Bruxelles.
Brussel

Suite de la “chambre magique” du va-et-viens dans les Marolles. Un aperçu de la poésie de tous les jours dans l’un des quartiers les plus haut en couleurs de Bruxelles.

Vitrine M vise à impliquer le quartier autour de la piscine de la ville de Bruxelles. En collaboration avec des résidents locaux, des visiteurs de la piscine et des commerçants de la Place du Jeu de Balle, des artistes MUS-E donnent un visage à la vitrine.

Illustratie van grappige personages, zwemmers en reddingsboeien

Vitrine M #4

H2O et un peu de chlore. L’artiste An Mertens est fan de cette piscine. Depuis plus de seize ans, elle y nage trois ou quatre fois par semaine. Elle vit aussi littéralement à quelques maisons d’ici. MUS-E a invité cette voisine à réaliser une installation dans la Vitrine M. An a choisi de collaborer avec le dessinateur et graphiste Axel Claes. Ensemble, ils donnent un aperçu de la vie aux Bains de Bruxelles.

Mensen staan nieuwsgierig door de vitrine te kijken

Vitrine M #5 

Dans la Vitrine M #5, Rasa Alksnyte et Kasper Demeulemeester présentent le travail artistique mené durant 10 semaines à l’école Fondamentale Nieuwland. Rasa a travaillé avec la 6ème primaire autour de l’Art dans la Cuisine. Kasper s’est attelé avec les 4ème primaire à la création de leurs propres histoires des Marolles. Prenant le quartier de la Place du Jeu de Balle comme point d’inspiration, les enfants et les artistes se sont mis à rêver autour de la vie en société, du dialogue et des confrontations dans le quartier. La Vitrine M #05 est réalisée dans le cadre de ‘Made in Marolles’.

Foto's van wilde planten hangen in de vitrinekast

Vitrine M #6

Pour la Vitrine M #6, Brigitte Grandjean, tisanière, et Florence Aigner, artiste photographe ont mené une recherche autour des plantes sauvages dans les Marolles avec la classe de 4ème primaire de l’école Baron Steens et avec des aînés de la Résidence Sainte Gertrude. Piétinées, ignorées, enracinées dans des endroits parfois improbables, les plantes sauvages ont la vie dure en ville. Et pourtant, elles sont essentielles.